Samy Chaffai : quand la créativité devient un cri du cœur

Il y a des visages qui traversent les réseaux comme des éclairs. Et puis il y a ceux qui y laissent une empreinte. Samy Chaffai, lui, fait partie de cette deuxième catégorie.

Asslemaa.

Tunisien jusqu’au bout du regard, Samy ne s’est jamais contenté de suivre les tendances.

Il les crée.

Directeur artistique, influenceur, Cinéaste… Il porte plusieurs casquettes, mais toutes ont un fil rouge : faire entendre une voix, raconter une histoire, montrer une Tunisie que l’on ne voit pas assez.

Un nom devenu familier dans le paysage créatif tunisien et au-delà. Un visage qu’on a vu sourire, cadrer, courir entre deux avions, micro à la main ou caméra sur l’épaule. Mais avant ça, c’était juste un rêve. Celui d’un jeune qui n’avait ni piston, ni millions, ni raccourcis. Juste une passion inépuisable pour les histoires et une volonté d’apprendre tout, absolument tout, par lui-même.

De rien… à l’écran !

Samy n’est pas arrivé avec des projecteurs. Il les a allumés un à un.
Auto-didacte, il a appris le montage, la réalisation, la direction artistique. Il s’est formé seul, a testé, raté, recommencé. Il a raconté des bouts de Tunisie dans ses vidéos, capturé des émotions brutes, cherché l’angle juste. Puis est venu Sadeem, un des plus grand tournant.

Un talent qui dépasse les frontières

Finaliste de Sadeem, ce programme arabe qui révélait les créateurs les plus talentueux du monde digital, Samy s’y est imposé par sa singularité. Là où d’autres cherchaient à divertir, lui voulait raconter. Faire ressentir. Faire réfléchir.

C’est cette vision unique qui lui a valu de couvrir la Coupe Arabe au Qatar, puis la Coupe du Monde, où il a été invité parmi les créateurs les plus influents du monde arabe.

Une fierté tunisienne !

Aujourd’hui, il est partout. Sollicité par des marques, des festivals, des institutions. Mais il reste le même.
Le même garçon qui croit aux idées qui ont du sens,
Qui travaille avec son cœur,
Qui veut transmettre plus que vendre.

Il montre que rien n’est impossible quand on y croit, qu’on s’accroche, qu’on ose.
Et il le fait sans jamais trahir ce qu’il est.

Alors à toi, Samy, Merciiii !

Merci.
Merci de nous montrer qu’on peut partir de zéro et briller.
Merci d’élever la Tunisie sans clichés.


Merci de rappeler que la passion, quand elle est vraie, fait tout le reste.

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